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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 22:22
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7 décembre 2008 7 07 /12 /décembre /2008 20:21


A Staffelfelden, les accordéonistes d'Ensisheiml ont joué pour les mineurs fêtant la Ste-Barbe.
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3 décembre 2008 3 03 /12 /décembre /2008 18:50

Le dimanche 30 novembre a eu lieu la traditionnelle fête de la Sainte-Barbe à Ungersheim.

Merci au Président de l’Amicale des mineurs d’Ungersheim Jean Paul Hasenforder et à toute son équipe pour l’organisation de cette rencontre amicale et très sympathique autour d’un repas.





Photo Jean Misiano

Un moment très émouvant parmi d’autres.

Martin Konieczny (Président d’honneur de l’amicale des mineurs d’Ungersheim) et Gerhard Martin (Président des mineurs de Buggingen)

 

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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 18:30

La fève des chevalements du carreau Rodolphe a été créée. Cora Wittenheim la glissera dans ses galettes maison. Un grand merci à Jacqueline Goepfert (Fabophile) pour cet investissement personnel, le résultat en valait la peine.  

Pour les collectionneurs, une bourse d’échange aura lieu dans la galerie marchande de Cora Wittenheim le 17 janvier 2009.

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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 16:12

http://www.lagrandcombe.fr/mine.html



Une adresse à voir pour retrouver...


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http://www.lagrandcombe.fr/mine.html

Ville de La Grand Combe
L'histoire minière de La Grand Combe



Le Puits
Ricard et la
mine »


La Maison
du mineur »


Info visite »
Le puits Ricard
La mason du mineur
Le puits du Goufre
Vallée Ricard
51 rue des Poilus
Tél. / Fax : 04 66 34 28 93
maisondumineur@wanadoo.fr www.paysgrandcombien.fr

La découverte du charbon sur le territoire de la commune fut à l'origine de l'exploitation du bassin houiller des cévennes. La compagnie des mines de la Grand-Combe fut créée en 1836 et en 1837.

L’industrie minière prend son essor au XIXème siècle avec la conquête des basses vallées et la création de villes nouvelles comme La Grand'Combe, reliée dès 1840 au Rhône par l’une des toutes premières voies ferrées. Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, le niveau des rendements des mines de charbon va stagner.

La nationalisation intervenue en 1946 regroupe les compagnies. Les Houillères du bassin des Cévennes ainsi créées embauchent et modernisent l’activité. Un record de production est atteint en 1958 avec 3 300 000 tonnes avec un effectif de 20 000 ouvriers sur l'ensemble du bassin houillier d'Alès - La Grand-Combe.



Puits Ricard et la mine constituent le
principal vestige de cette histoire.


Le chevalement du puits Ricard est à lui seul très impressionnant. Il permettait la descente des "cages" jusqu’à 801 mètres de profondeur. Ce puits, le plus profond de tout le bassin, a été construit entre 1932 et 1935 et fermé en 1978.

A côté du chevalement en métal, renforcé de béton après l’incendie du puits Ricard, le bâtiment de culbutage des berlines a été conservé. Les berlines sortaient du puits, étaient dirigées vers le culbutage par des voies inclinées pour vider le charbon. Il tombait dans une trémie au sous-sol et était dirigé vers les ateliers de traitement par tapis roulant.

La salle de la machine d’extraction
Depuis une passerelle panoramique, on peut observer le tambour sur lequel s’enroulaient les câbles de la machine d’extraction, unique en Europe. Elle était non débrayable à deux entrées de câble.

Sont aussi à voir le poste du machiniste, les compresseurs d’air, les génératrices d’électricité et les tableaux de mise en oeuvre.

L'ensemble des installations minières du Puits Ricard est classé Monument Historique.
(arrêté du 14 mai 2008)

Ainsi, l'empreinte sociale et industrielle minière de ce territoire est reconnue comme patrimoine national et va avoir les moyens de parcourir le temps.

De ces vies et cultures mêlées s'enracinent, s'identifient et se nourrissent les espoirs pour se projeter vers de nouvelles histoires humaines.



La Maison du Mineur
1800 paniers, 180 douches

La visite commence par le bâtiment des lavabos douches, lieu symbolique du temps de la mine, qui date de 1935.
À chaque sortie de poste de travail, jusqu’à 350 mineurs s’y déshabillaient et y prenaient leur douche.

Autrefois, dans "la salle des pendus", on comptait 1800 paniers hissés au plafond au moyen d’une chaîne. Un panier numéroté était attribué à chaque mineur lors de son affectation à la mine. Dans ce panier, celui-ci y rangeait ses vêtements en début et en fin de travail.
Dans cette grande salle, sont à découvrir les collections de photos, fossiles, grisoumètres, lampes, matériels de fond, câbles d’extraction, briques et galets de charbon, plans de géomètres ainsi que la reconstitution de l’habitat du mineur au début du siècle.
Ici, on touche du doigt le quotidien du mineur. Rien n’est factice. Tout est d’époque sauvé in extremis de l’oubli.

À l’extérieur de la Maison du mineur sont à voir les ateliers où les mineurs déposaient leur matériel à réparer. Il y avait donc autrefois une forge, un atelier électrique, un magasin et un atelier mécanique.


V i s i t e s

+ Jusqu’au 31 août :
Du mardi au samedi de 9h à 12h et de 14h30 à 18h
Dimanche et jours fériés de 14h30 à 18h30
+ Du 1er septembre au 20 décembre :
Du mardi au samedi de 9h30 à 12h et de 14h à 17h Le dimanche de 14h à 17h

» maisondumineur@wanadoo.fr
» www.paysgrandcombien.fr


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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 16:10

Le Monde du 17 novembre 08

Les friches belges prises d'assaut


(...) Sylvain ne compte plus ses passages ici. Le jour, il est un banal Français de 31 ans, consultant en entreprise. La nuit, il est "explorateur urbain". Il arpente les toits, plonge dans les mines, traverse les usines en friche. Il fait partie d'une petite communauté passionnée par la découverte de ces lieux oubliés, devant lesquels on passe sans regarder ou dont on ignore l'existence. Recenser des monuments, raconter le patrimoine caché, parfois au risque d'être reconduit hors des bâtiments - il est rare que la police aille plus loin. Ils sont une petite trentaine, en Belgique, à échanger leurs trésors, sur Internet principalement, avec d'autres défricheurs, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en France... Avec une règle commune : pas de détérioration. (...) Sylvain s'inquiète pourtant de la notoriété de son site Web (www.forbidden-places.net) et de son influence sur les adolescents, plus enclins à prendre des risques. "Un jeune est mort la semaine dernière, raconte-t-il. Il était à la gare Centrale et est tombé dans une cheminée de ventilation." (...) Leur connaissance des bâtiments de Cheratte est digne d'anciens mineurs. Dans ces splendides édifices en brique rongés par le temps, Sandy, ingénieure chimiste dans le civil, fait la guide. "Ici, ce sont les cadrans de pointage", explique-t-elle devant de grands panneaux en bois dans la pièce centrale. "Et là, la salle de recharge des Oldham, les lampes antidéflagrantes." Pour elle, l'abandon du patrimoine industriel est un drame. "Ces bâtiments sont protégés, donc le propriétaire ne peut pas les détruire. Mais vous voyez dans quel état il les laisse..." En chemin vers la destination suivante, les carrières de Caestert et Lanaye, à la frontière néerlandaise, Vincent et Sandy sortent une carte des lieux. C'est un immense gruyère, des milliers de labyrinthes qui s'étalent sur des kilomètres. Comment s'y retrouver ? "On ne s'y retrouve pas !", répondent-ils en choeur. Laura Dambremont, 17 ans, et Nicolas Elias, 24 ans (www.lost-ground.net), les autres explorateurs du jour, n'ont pas l'air plus inquiets que cela. Ils sont venus à l'explo par le biais de la photo.

"Moi, je suis plutôt toits", explique la lycéenne, paupières fardées de rose, treillis et sweat-shirt à l'effigie d'un groupe de rock. "Moi, à la base, j'aime bien les usines", répond Nicolas, qui travaille dans une imprimerie. Le danger n'est pas pour leur déplaire. "Je préfère quand c'est interdit, c'est un peu comme un jeu, on se cache des gardes", affirme-t-il. Dans les carrières de tuffeau de Caestert, pas besoin de ruser pour se cacher. Il suffit d'éteindre sa lampe. Les voûtes de 15 mètres creusées dans cette pierre tendre se ressemblent toutes. Pourtant, Vincent et Sandy finissent par trouver ce qu'ils cherchaient : des graffitis anciens. Là, un soldat dessiné à la sanguine, daté de 1824. Ici, une pendaison ou un manège, dessinés à la même époque. "Une exploitation à ciel ouvert a commencé à grignoter les carrières, explique Vincent. Mais un arrêté de protection a été signé, à cause des graffitis." La préservation des sites préoccupe tous les explorateurs urbains. Gilles Durvaux, 46 ans, le "doyen" du petit groupe belge, est passionné par l'histoire industrielle. Son site Web (www.postindustriel.be) est nourri de récits et de photos prises pendant plus de vingt ans. Devant les batteries de fours étroits de l'ancienne cokerie d'Anderlues, près de Charleroi, il semble ému par ce paysage qu'il a vu des dizaines de fois. "Ici, on voit comment les objets passent d'une civilisation à une autre." L'usine abandonnée est un lieu incroyable. Sa beauté silencieuse abrite un poison mortel.

Derrière les fours, des salles où les machines trempent dans des flaques multicolores, des citernes où l'eau a remplacé le benzol, du cyanure, des mottes cotonneuses d'amiante à l'air libre... Le site est fermé depuis novembre 2002 et immobilisé par un conflit judiciaire. La situation des friches en Belgique diffère de celle de la France, explique Claude Chaline, professeur à l'Institut d'urbanisme de Paris (La Régénération urbaine, PUF "Que sais-je ?", 1999). "En France, l'abandon est rare, dit-il, sauf dans les régions pauvres." Quant à la démolition-reconstruction, elle est rendue difficile par la législation. On lui préfère désormais "la réaffectation des bâtiments abandonnés, surtout dans les villes : on les transforme par exemple en hôtels de luxe". Vincent Duseigne déplore les destructions de plus en plus systématiques du patrimoine industriel wallon. Au fil des ans, il a récupéré de nombreux objets et documents, cartes, carnets d'usines, et a aujourd'hui l'ambition d'ouvrir un musée. Gilles Durvaux, lui, a prévu de partir en Pologne - en Silésie - pour "un reportage social" sur l'industrie. Quant à Sylvain Margaine, il expose régulièrement ses photographies d'explorations, prises des Etats-Unis à l'Australie, en passant par la Belgique. Pour montrer à ceux qui n'auraient pas envie de ramper sous les grillages ce qui se cache derrière.


Clara Georges

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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 21:03

Au CHM de Lewarde : « Les paysages de la mine, un patrimoine contesté »

  •  article paru le vendredi 14.11.2008, 05:07 - La Voix du Nord

Plusieurs élus régionaux, étaient présents jeudi, ainsi que le président du CILAC, M. Lemoine.

|  COLLOQUE |

Jusqu'à samedi, le Centre historique minier de Lewarde accueille un colloque international autour du thème de l'héritage de la mine. Avec des questions qui se posent dans les différents pays concernés : que faut-il conserver, et comment reconvertir ce patrimoine ?

PAR J-F. GUYBERT

douai@lavoixdunord.fr.

Ils sont universitaires, professeurs, historiens, conservateurs de musées, ou travaillent encore dans des mines en exploitation. Ils sont une centaine, venus d'Italie, de Pologne, de Slovaquie, voire de Tunisie, afin de débattre de leurs préoccupations communes. Hier, lors de la matinée d'ouverture, plusieurs élus régionaux, dont Daniel Percheron, avaient aussi fait le déplacement. Car, si l'exploitation s'est achevée ici en 1990, d'autres pays l'ont poursuivie. C'est notamment le cas en Pologne, ou en Tunisie, avec les phosphates. Mais tous pensent désormais à l'après mines. Ce colloque, mis sur pied conjointement par le CHM et le Comité d'information et de liaison pour l'archéologie, l'étude et la mise en valeur du patrimoine industriel (CILAC), c'est en quelque sorte l'opportunité de confronter les expériences, pour pouvoir aller plus loin dans la réflexion, Ainsi, les Tunisiens, qui envisagent de transformer une de leurs mines en musée, sont vivement intéressés par l'expérience accumulée ici. Rappelons qu'en ce qui concerne le CHM, le projet de création remonte aux années soixante-dix, et qu'il est ouvert depuis 1984.

Trois jours, trois thèmes

Jeudi, les présents ont ainsi pu écouter plusieurs intervenants - ils seront une trentaine en tout - leur parler de ce qui définit un paysage minier, qui n'est absolument pas le même partout. Une mine de charbon n'ayant, par exemple, rien à voir avec une mine d'amiante, telles que celles que l'on trouve au Canada. Dans le premier cas, la matière exploitable représente 50 % de ce qui est extrait, dans l'autre, seulement 5 %. Les quantités brassées n'ont donc rien à voir, et l'environnement s'en ressent différemment.

Aujourd'hui, il sera question du traitement et de la reconversion de tous ces sites. Mais aussi des problèmes liés aux affaissements, dont certains peuvent tirer parti pour en faire, par exemple, des bases de loisirs. Enfin, demain, avant la synthèse, les participants s'interrogeront sur le fait de savoir ce qu'il faut détruire ou garder, lorsque l'exploitation a cessé. Et de quelle manière peut-on valoriser tout cela ?

Signalons encore qu'une visite de terrain a été organisée en autocars, jeudi, dans le Pas-de-Calais, à la découverte des différents sites miniers tels que les terrils, les cités, les fosses de Lens et Oignies. Et que, cet après-midi, une autre se déroulera, cette fois, dans le Valenciennois avec, en particulier, la visite de la fameuse fosse d'Aremberg. •

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 21:29
Objectivités - La photographie à Düsseldorf

03.10.2008 au 04.01.2009, 12h00-20h
Lieu: Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, 11, avenue du Président Wilson, 75116 Paris
Partenaires: K20K21 Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris


Ma.-Di. 10h00 – 18h00
Jeu. 10h00 – 22h00


Ces dernières années, des photographies de Bernd et Hilla Becher, de Thomas Struth et de Candida Höfer, d'Andreas Gursky et de Thomas Ruff ont trouvé leur place dans les grands musées et les grandes collections privées internationales. Lorsque Bernd Becher a repris la direction du département de photographie à la Kunstakademie de Düsseldorf (École des Beaux-Arts) en 1976, ce fut le début d'une histoire incomparable. Aujourd'hui plusieurs générations de ce qu'il est convenu d'appeler « l'école des Becher » ont contribué à ce que l'art contemporain de Düsseldorf soit reconnu au niveau mondial. On a parfois tendance à oublier que dès les années 70 la photographie a joué un rôle considérable sur la scène artistique de Düsseldorf : des artistes tels que Gerhard Richter et Sigmar Polke, Hans-Peter Feldmann, Lothar Baumgarten et Katharina Sieverding ont fait des recherches sur la photographie en lien avec la peinture et l'art conceptuel, les médias de masse et la documentation. Leur création est au coeur de nombreuses expositions de tout premier plan.

Environ 160 oeuvres sélectionnées d’une vingtaine d’artistes donnent à voir la diversité et la richesse de leurs photographies du début des années 70 à aujourd’hui à la Kunstakademie de Düsseldorf.
L'exposition est invitée au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris. Elle présente pour la première fois avec une telle ampleur la diversité et l'actualité de la photographie « made in Düsseldorf » en France. Des auteurs allemands et français dresseront le portrait des artistes et de leurs oeuvres dans un catalogue détaillé.

Artistes présentés :
Lothar Baumgarten, Bernd und Hilla Becher, Laurenz Berges, Elger Esser, Hans-Peter Feldmann, Andreas Gursky, Candida Höfer, Axel Hütte, Klaus Mettig, Simone Nieweg, Sigmar Polke, Gerhard Richter, Thomas Ruff, Jörg Sasse, Ursula Schulz-Dornburg, Katharina Sieverding, Beat Streuli, Thomas Struth, Petra Wunderlich...

Commissariat général : Armin Zweite et Fabrice Hergott
Commissaires : Maria Müller, Isabelle Malz, Emmanuelle de l’Écotais, Anne Dressen
Avec le soutien de : Ministère des Affaires étrangères de la République Fédérale
d'Allemagne, WestLB, Bayer AG

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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 20:20

















































































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3 novembre 2008 1 03 /11 /novembre /2008 19:22









































L'amicale des mineurs d'Ungersheim, celle des mineurs de Cernay et environs, Kalivie, le Groupe Rodolphe, l'association minéralogique Potasse, le Mudée de la Régence d'Ensisheim, avec la commune de Staffelfelden
organisent la Sainte Barbe 2008 qui a lieu le 4 décembre à Staffelfelden.
Programme: 10h, messe à léglise SS. Pierre et Paul, avec les accordéonistes du centre Haut-Rhin.
11 h 30, apéritif concert avec la même formation. Apéritif offert par la commune de Staffelfelden.
12 h 30, déjeuner au prix de 23 €. et après-midi dansante et récréative avec le duo Cristalain.

S'inscrire avant le 1er décembre auprès de Roland Ringenbach, avec un chèque libellé à l'ordre de la Fête de la Sainte Barbe, à adresser au 11, rue de Haguenau; 68310 Wittelsheim. 03 89 55 13 27, avant le 1er décembre.
Les mineurs, leurs proches et leurs amis sont les bienvenus.
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Présentation

  • : Le blog de l'Association Groupe Rodolphe
  • : Nous sommes un groupe de mineurs de potasse retraités et des amis, nous nous retrouvons le mercredi pour retaper du matériel avec la ferme intention de préserver le patrimoine minier et la mémoire de tous ceux qui ont travaillé aux Mines de Potasse
  • Contact

Programme 2022

PROGRAMME DES VISITES DU CARREAU RODOLPHE

- KALISTOIRE  Le 09 juin 2023 de 9h à 18h. Entrée gratuite. Pas de visites guidées ce jour.

- Journées européennes du patrimoine : les 20 et 21 septembre 2023 de 09 h à 17h
                                                                        Départ des visites guidées toutes les 30 minutes
- Portes ouvertes : Les 23 juin, 07 et 21 juillet, 04 et 18 août -  Visites guidées uniquement.
- Tous les mercredis de l'année sans RDV : un départ de visite à 9h et un départ de visite à 14h

Toute l'année sur RDV :   Renseignement au 06 27 70 63 43

La durée de la visite guidée est d'environ 2 h 30 avec possibilité d'adapter sa durée et le thème.

DANS LES PAS DU MINEUR DE POTASSE

Venez découvrir l’histoire de la potasse en Alsace, un siècle d’aventure industrielle et humaine.

- Une participation forfaitaire de 10€ par personne, sous forme de don en soutien au Groupe Rodolphe est demandée.
Visites scolaires et enfants de 6 à 16 ans 5€ par personne
- Entrée gratuite  pour les enfants de moins de 6 ans et les membres de l'Association Groupe Rodolphe.

Recherche

Présentation de la visite guidée du Carreau Rodolphe 2022

DANS LES PAS DU MINEUR DE POTASSE

Venez découvrir l’histoire de la potasse en Alsace, un siècle d’aventure industrielle et humaine.

L’association Groupe Rodolphe est présente sur le site depuis plus de 26 ans.

Forte du dynamisme de ses nombreux membres actifs, elle réhabilite des machines et matériels miniers et reconstitue des chantiers caractéristiques des méthodes d’exploitation de la potasse en Alsace.

 

Les mineurs guides de l’association vous proposent de découvrir les différentes techniques d’exploitation de la potasse, extraite jusqu’en 2003. Les visiteurs sont accompagnés par nos mineurs guides sur les pas du mineur et à travers la reconstitution des chantiers d’extraction ils leur proposent un véritable et réel voyage au cœur du métier du mineur.

 

Le circuit dure environ 2 heures, il permet de faire découvrir au public également deux chevalements, Rodolphe 1 et 2 ainsi que les deux machines d’extraction de 1912 et 1928 parfaitement restaurées et en état de marche ainsi que les installations de surface ayant permis le traitement du minerai. Mais aussi un ensemble complet et unique en France de machines minières allant des années 50 à 2004.
 

La visite du carreau est un moment d'intense émotion. Les mineurs du Groupe Rodolphe passionnés vous feront découvrir l'épopée des Mines de Potasse d'Alsace tout en apportant le témoignage de leur vécu au fond de la mine.

Contact Groupe Rodolphe

Tél   : 03 89 48 86 54

Port : 06 27 70 63 43

Mail : groupe-rodolphe@orange.fr

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